D’une manière générale, certaines clauses bénéficiaires devraient être évitées :
Désignation nominative d’une personne sans aucune précision ni indication du lien de parenté (ex. « Bernard Martin ») ;
Désignation d’un enfant sans prévoir le prédécès de ce dernier (absence de mention « vivant ou représenté ») ;
Désignation de personnes difficilement déterminables par l’assureur (ex. « Mes voisins », » Mes neveux », etc.) ;
Clause bénéficiaire attribuant à chaque bénéficiaire une part du capital exprimée en valeur absolue (ex. 5.000€ pour François Martin, 6.000€ pour Clémence Durand), dans la mesure où la valeur de votre contrat aura évolué entre la souscription et votre décès ;
Clause bénéficiaire attribuant des quotités de capital sans que le total corresponde à 100% (ex. 33% pour A, 25% pour B et 30% pour C) ;
Clause bénéficiaire renvoyant à un testament déposé chez un notaire sans qu’un testament ait été effectivement établi.